Que ma joie demeure
Par la compagnie Fêtes galantes
dans le cadre de Happy Birthday JS Bach !
Territoire du pli, du trompe-l’œil et du vertige, la danse baroque recèle des richesses innombrables que Béatrice Massin révèle avec brio de pièce en pièce. Preuve avec Que ma joie demeure, une œuvre maîtresse au titre de bon augure puisque son succès ne s’est jamais démenti depuis sa création en 2002. Pour les dix interprètes, tout commence dans le silence, ou presque… Car si la musique n’est pas de la partie dès les premiers instants, les corps impriment une partition sonore à même la scène d’un rouge écarlate. Envisageant sa troupe comme un « orchestre chorégraphique », Béatrice Massin nous donne à percevoir la musicalité de la danse : glissés, tombés, frottés… la musique du mouvement propre au baroque dessine une architecture bientôt investie par la musique de Jean-Sébastien Bach. Le dialogue ainsi engagé se décline en une foule de formes où musique et mouvement parlent un même langage. Fugues, canons, points et contrepoints… mais aussi solos, duos, trios… jusqu’aux unissons qui se construisent savamment avant de voler en éclats joyeux. Écriture ciselée et fougue, motifs hypnotiques et élans débordants de vie… La joie du corps et de la musique célébrée de la façon la plus ensorcelante qui soit !
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jeudi 16 mars à 20h30
grande salle
à partir de 8 ans
Durée : 1 h
Tarif
de 7,50 à 24 euros
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Liens
Chorégraphie Béatrice Massin
Musique Jean-Sébastien Bach
Costumes Dominique Fabrègue
Assistée de Laurence Alquier, Camille Hardy
Avec Bruno Benne, Sarah Berréby, Laura Brembilla, Lou Cantor, Olivier Collin, Laurent Crespon, Damien Dreux, Adeline Lerme, Gudrun Skamletz, Diane Soubeyre
Photos Jean-Pierre Maurin
Coproduction L’Apostrophe - Scène Nationale de Cergy-Pontoise, Le Parvis - Scène Nationale de Tarbes, Le Ballet de Lorraine - CCN de Nancy, Compagnie Fêtes galantes Avec l’aide de l’Adami
Que ma joie demeure
Par la compagnie Fêtes galantes
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dans le cadre de Happy Birthday JS Bach !
Territoire du pli, du trompe-l’œil et du vertige, la danse baroque recèle des richesses innombrables que Béatrice Massin révèle avec brio de pièce en pièce. Preuve avec Que ma joie demeure, une œuvre maîtresse au titre de bon augure puisque son succès ne s’est jamais démenti depuis sa création en 2002. Pour les dix interprètes, tout commence dans le silence, ou presque… Car si la musique n’est pas de la partie dès les premiers instants, les corps impriment une partition sonore à même la scène d’un rouge écarlate. Envisageant sa troupe comme un « orchestre chorégraphique », Béatrice Massin nous donne à percevoir la musicalité de la danse : glissés, tombés, frottés… la musique du mouvement propre au baroque dessine une architecture bientôt investie par la musique de Jean-Sébastien Bach. Le dialogue ainsi engagé se décline en une foule de formes où musique et mouvement parlent un même langage. Fugues, canons, points et contrepoints… mais aussi solos, duos, trios… jusqu’aux unissons qui se construisent savamment avant de voler en éclats joyeux. Écriture ciselée et fougue, motifs hypnotiques et élans débordants de vie… La joie du corps et de la musique célébrée de la façon la plus ensorcelante qui soit !