
La guerre de Troie (en moins de deux !)
Par la compagnie Théâtre du Mantois
Raconter la guerre de Troie en une heure et demie ? A chœur vaillant rien d’impossible. En vingt-quatre scènes menées tambour battant, sept comédiens et un musicien passent le mythe au crible d’un humour ravageur, épique et poétique. Réviser ses classiques n’aura jamais été une telle partie de plaisir !
De la pomme de la discorde au choix de Pâris, de la colère d’Achille aux ruses d’Ulysse, de l’enlèvement d’Hélène au sacrifice d’Iphigénie… Ouvrir le récit de la guerre de Troie, c’est s’immerger dans une folle cavalcade de personnages, de déesses et de dieux, de demi-dieux et d’humains… Presque aussi foisonnante que celle des auteurs qui se sont passé le relais du mythe, de Homère à Offenbach en passant par Sophocle, Euripide, Virgile… Vous avez dit vertige ? C’est le mot, mais ici, il s’agit surtout de chavirer de plaisir. Et de se laisser prendre par la main. La recette de ce banquet théâtral est simple et tient en un tour de force : raconter le mythe en moins de deux, avec trois fois rien et de manière parfaitement limpide. Quelques accessoires, une table format olympique, de l’invention à revendre et des comédiens en pleine jubilation. De grands enfants ceux-là : on jurerait qu’ils découvrent l’histoire à mesure qu’ils nous la racontent. On joue, on chante… et chacun·e se fait le narrateur de son action dans la pure tradition du théâtre grec. Avec autant de grâce que d’irrévérence et surtout beaucoup de justesse, la compagnie du Théâtre du Mantois rend hommage à un mythe qui aura rarement semblé aussi proche. Et ce faisant, nous embarque vers une époque où le théâtre était rien moins que le sel de la vie.
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jeudi 6 mai à 20h30
grande salle
à partir de 9 ans
Durée : 1 h 20
Tarif
de 8 à 25 euros
Liens
Texte Eudes Labrusse, d’après Homère, Sophocle, Euripide, Hésiode, Virgile, Offenbach…
Mise en scène Jérôme Imard et Eudes Labrusse
Avec Catherine Bayle, Audrey Le Bihan, Hoa-Lan Scremin, Laurent Joly, Nicolas Postillon, Loïc Puichevrier, Philipp Weissert et Christian Roux
Musique de scène (piano) Christian Roux
Costumes Cécile Pelletier et Aurélie Penuizic
Lumières Laurent Bonacorsi
Créé en mai 2018 au Théâtre 13 (Paris)Création Théâtre du Mantois.Production Nicri Productions.Coproduction Les Bords de Scènes Théâtres et Cinémas.Accueil en résidence Théâtre 13Avec le soutien de la Spedidam, de la Drac Île-de-France, de l’Adami et de M. Bricolage (Mantes).
La guerre de Troie (en moins de deux !)
Par la compagnie Théâtre du Mantois
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Raconter la guerre de Troie en une heure et demie ? A chœur vaillant rien d’impossible. En vingt-quatre scènes menées tambour battant, sept comédiens et un musicien passent le mythe au crible d’un humour ravageur, épique et poétique. Réviser ses classiques n’aura jamais été une telle partie de plaisir !
De la pomme de la discorde au choix de Pâris, de la colère d’Achille aux ruses d’Ulysse, de l’enlèvement d’Hélène au sacrifice d’Iphigénie… Ouvrir le récit de la guerre de Troie, c’est s’immerger dans une folle cavalcade de personnages, de déesses et de dieux, de demi-dieux et d’humains… Presque aussi foisonnante que celle des auteurs qui se sont passé le relais du mythe, de Homère à Offenbach en passant par Sophocle, Euripide, Virgile… Vous avez dit vertige ? C’est le mot, mais ici, il s’agit surtout de chavirer de plaisir. Et de se laisser prendre par la main. La recette de ce banquet théâtral est simple et tient en un tour de force : raconter le mythe en moins de deux, avec trois fois rien et de manière parfaitement limpide. Quelques accessoires, une table format olympique, de l’invention à revendre et des comédiens en pleine jubilation. De grands enfants ceux-là : on jurerait qu’ils découvrent l’histoire à mesure qu’ils nous la racontent. On joue, on chante… et chacun·e se fait le narrateur de son action dans la pure tradition du théâtre grec. Avec autant de grâce que d’irrévérence et surtout beaucoup de justesse, la compagnie du Théâtre du Mantois rend hommage à un mythe qui aura rarement semblé aussi proche. Et ce faisant, nous embarque vers une époque où le théâtre était rien moins que le sel de la vie.