
Roi Lear 4/87
D’après Shakespeare / Par le Théâtre Cazaril
Tragédie baroque à l’esthétique sombre, Le Roi Lear superpose et entrelace les figures du roi, du père et du fou et apparaît comme le drame de l’ingratitude et de la folie de deux familles : celle du Roi Lear et de ses trois filles et celle des Gloucester. Lorsque Lear décide d’abandonner sa couronne au début de la pièce, il déclenche un chaos politique sans commune mesure. Les passions se déchaînent. Trahisons, complots, meurtres, guerres de pouvoir, démences… toutes les caractéristiques de l’écriture de Shakespeare sont ici portées à leur paroxysme.
Antoine Caubet réussit le tour de force d’adapter avec originalité et pertinence cette tragédie flamboyante. Loin de tout effet spectaculaire, il laisse entendre le texte dans la plus grande nudité théâtrale, accompagné de trois comédiens à l’énergie euphorisante qui se glissent tour à tour dans les différents rôles, incarnant les métamorphoses successives de tous les personnages. Un texte, quatre acteurs, un plateau nu… sa mise en scène nous ramène à l’essence même du théâtre.
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mardi 28 janvier à 14h30
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mardi 28 janvier à 20h30
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mercredi 29 janvier à 19h30
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jeudi 30 janvier à 14h30
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jeudi 30 janvier à 20h30
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vendredi 31 janvier à 19h30
grande salle
à partir de 15 ans
Durée : 1 h 30
Tarif
de 7 à 20 euros
Liens
Traduction Jean-Michel Desprats, éditions Gallimard
Mise en scène Antoine Caubet
Assistante Adèl Kollar
Avec Antoine Caubet, Cécile Cholet, Christine Guênon et Olivier Horeau
Photo Hervé Bellamy
Production Théâtre Cazaril, CCAS. Le Théâtre Cazaril est conventionné par la DRAC Île-de-France / Ministère de la culture et de la communication, en résidence à L’apostrophe - Scène Nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise.
Roi Lear 4/87
D’après Shakespeare / Par le Théâtre Cazaril
Théâtre
Tragédie baroque à l’esthétique sombre, Le Roi Lear superpose et entrelace les figures du roi, du père et du fou et apparaît comme le drame de l’ingratitude et de la folie de deux familles : celle du Roi Lear et de ses trois filles et celle des Gloucester. Lorsque Lear décide d’abandonner sa couronne au début de la pièce, il déclenche un chaos politique sans commune mesure. Les passions se déchaînent. Trahisons, complots, meurtres, guerres de pouvoir, démences… toutes les caractéristiques de l’écriture de Shakespeare sont ici portées à leur paroxysme.
Antoine Caubet réussit le tour de force d’adapter avec originalité et pertinence cette tragédie flamboyante. Loin de tout effet spectaculaire, il laisse entendre le texte dans la plus grande nudité théâtrale, accompagné de trois comédiens à l’énergie euphorisante qui se glissent tour à tour dans les différents rôles, incarnant les métamorphoses successives de tous les personnages. Un texte, quatre acteurs, un plateau nu… sa mise en scène nous ramène à l’essence même du théâtre.
Autour du spectacle
mardi 14 janvier à 20 h
grande salle
Ran
réalisé par Akira Kurosawa
mercredi 29 janvier
rencontre avec Antoine Caubet et l’équipe artistique